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Arrivé en provenance du CB Ifs à l’intersaison, Didier Godefroy se présente et nous livre ses impressions sur la préparation du groupe de Nationale 1 à dix jours de la reprise du championnat le 16 septembre à Calais.

Bonjour Didier, tout d’abord, pour celles et ceux qui ne te connaitraient pas encore, peux-tu te présenter brièvement ?

Bonjour à tous, pour résumer, j’ai envie de dire que je suis vraiment un entraineur régional. J’ai eu ce bonheur d’entrainer quasiment toute ma carrière dans ma région (Didier Godefroy est notamment passé par Lisieux, le CBC chez les garçons et Mondeville puis Ifs chez les filles) mis à part ma parenthèse à Bourges. Pouvoir faire de ma passion, mon activité professionnelle qui plus est dans ma région, c’est une vraie chance. Venir dans cette partie de la Normandie, dans la Manche, est vraiment quelque chose qui me fait plaisir.

À ce titre, quelle sont les motivations qui t’ont poussé à venir rejoindre le projet de l’USLG ?

La motivation est assez simple, je crois vraiment que La Glacerie fait partie des projets très intéressants qui existent dans le basket en Normandie, sans faire injure aux autres bien évidemment. Ce projet représente non seulement le basket à Cherbourg-en-Cotentin mais surtout le sport féminin de haut-niveau dans tout un département avec cette idée de l’ambition. Quand on est quelqu’un de passionné, on a forcément envie de participer à des projets qui fédèrent, qui font vibrer et qui vont de l’avant. L’USLG réunit tout ces éléments, il y a un vrai challenge. On ne se fixe pas pour objectif de faire une bonne saison, on se fixe pour objectif de faire une excellente saison.

Quelles sont tes premières impressions sur le groupe et le club à une dizaine de jours du début du championnat ?

Après quatre semaines de préparation, je trouve que cela est vraiment très cohérent. Avoir huit entrainements par semaine, avoir un préparateur physique à disposition, avoir les qualités de transport que l’on a, le matériel mis à disposition, deux entraineurs dédiés sur le groupe de Nationale 1, le mot cohérent est vraiment celui qui me vient tout de suite à l’esprit. Je trouve légitime d’avoir cette ambition d’accéder à l’étage au dessus, la Ligue Féminine 2, par rapport non seulement au potentiel de l’agglomération du Cotentin mais également par rapport à l’organisation que le club essaye de mettre en place. Concernant les joueuses, j’ai toujours eu la chance de vivre de vraies aventures avec les groupes que j’ai entrainé et il n’y a pas de raisons que cela ne continue pas. Ce groupe à de vraies qualités tant sur le plan sportif qu’humain.

Merci Didier et bonne saison avec les Tangos.